Ottawa (Ontario) — Laila Goodridge, ministre du Cabinet fantôme responsable de la Toxicomanie, et le Dr Stephen Ellis, ministre du Cabinet fantôme responsable de la Santé, ont fait la déclaration suivante à l’occasion du premier anniversaire de la décision du gouvernement Trudeau de décriminaliser les drogues dures en Colombie-Britannique :  

« Il y a un an que la coalition Libéral-NPD a décriminalisé les drogues dangereuses en Colombie-Britannique. Les résultats de cette expérience irréfléchie montrent son échec lamentable, les décès par surdose en Colombie-Britannique ayant atteint le chiffre record de 2 511. Alors que de plus en plus de Canadiens meurent, le coût des drogues dangereuses dans la rue a chuté de 70 à 95 %. Les drogues sont aujourd’hui la première cause de décès en Colombie-Britannique, causant plus de morts que la criminalité, les accidents et les maladies réunis.

« Malgré cela, la coalition Libéral-NPD continue d’aggraver la crise. Il y a quelques semaines à peine, le gouvernement NPD de la Colombie-Britannique, avec l’aide des libéraux de Justin Trudeau, a passé un contrat avec le British Columbia Centre on Substance Use (BCCSU) pour que des cliniciens prescrivent du fentanyl dangereux à des mineurs sous prétexte d’un soi-disant “approvisionnement sûr”. Pire encore, ces enfants vulnérables peuvent recevoir ces médicaments dangereux sans que leurs parents en soient informés. Pendant ce temps, il n’y a toujours pas de preuves crédibles à l’appui de cette insistance à fournir des drogues dures financées par les impôts aux Canadiens souffrant de dépendance, en particulier aux enfants.

« En conséquence directe des politiques de la coalition Libéral-NPD, les surdoses et les décès continuent d’échapper à tout contrôle. Et alors que la crise s’aggrave, ils ne tiennent pas compte des traitements et de la guérison et leur accordent peu d’importance.

« Les conservateurs de gros bon sens n’abandonneront pas les Canadiens souffrant de dépendance. Un gouvernement Poilievre ramènera nos proches sans drogue, en leur donnant accès au traitement et à la guérison, et non à d’autres drogues mortelles financées par les contribuables. Le rétablissement est possible. »