Ottawa (Ontario) – Après huit années sous Trudeau, les loyers n’ont jamais été aussi chers pour les Canadiens. Depuis l’élection de Trudeau, le coût des loyers a doublé et le logement n’est tout simplement pas abordable dans la plupart de nos villes.

La semaine dernière, Rentals.ca a publié un rapport soulignant la réalité de l’échec des libéraux à fournir des loyers abordables au Canada. En décembre, les loyers moyens demandés pour toutes les propriétés résidentielles au Canada sont devenus incontrôlables, terminant l’année à un niveau record de 2 178 dollars en décembre 2023. Il s’agit d’une augmentation de 8,6 pour cent par rapport à l’année précédente, en décembre 2022.

Pire encore, au cours des deux dernières années, les loyers demandés ont augmenté au total de 22 pour cent, soit une moyenne de 390 dollars par mois. Personne ne peut se permettre une telle augmentation. Les Canadiens de la Colombie-Britannique doivent faire face à des loyers moyens de 2 500 dollars, tandis que les Ontariens doivent payer 2 446 dollars.

Cette crise du coût de la vie oblige les Canadiens à choisir entre payer leur loyer, mettre de la nourriture sur la table et chauffer leur maison. La seule solution à cette crise du logement abordable est que le gouvernement libéral construise davantage de logements, mais Trudeau a déclaré aux Canadiens que le logement n’était pas une « responsabilité fédérale », et la Société canadienne d’hypothèques et de logement de Trudeau a confirmé que son gouvernement n’avait aucun plan pour construire les logements dont les Canadiens ont besoin.

En conséquence directe de l’inaction de Trudeau, entre 1er janvier et le 30 novembre 2023, le Canada a construit 17 561 maisons de moins qu’au cours de la même période l’année précédente, selon Statistique Canada. Le ministre du Logement de Trudeau ne comprend pas que les Canadiens ne peuvent pas vivre dans les séances de photos.

Seuls les conservateurs de gros bon sens ont un plan pour construire plus de logements au lieu de la bureaucratie et de proposer des logements que les Canadiens peuvent réellement s’offrir.