OTTAWA (Ottawa) — Le ministre du Cabinet fantôme du Parti conservateur responsable des Anciens combattants, Blake Richards, a fait la déclaration suivante après que le gouvernement libéral a rendu publique la conception officielle du monument national en l’honneur de ceux qui ont servi en Afghanistan :

« Après 8 ans sous Trudeau, il est clair que nos anciens combattants ne sont rien de plus qu’une réflexion après coup pour ce gouvernement libéral.

« En 2014, le précédent gouvernement conservateur a annoncé la construction d’un monument national en l’honneur de ceux qui ont servi pendant la mission du Canada en Afghanistan. Neuf ans plus tard, il n’a toujours pas été construit et le gouvernement libéral vient seulement de commencer à en concevoir un.

« Au lieu d’honorer les hommes et les femmes qui ont servi et ceux qui sont tombés dans l’exercice de leurs fonctions, le gouvernement Trudeau a immédiatement bloqué le projet, laissant les 40 000 anciens combattants canadiens de l’Afghanistan sans monument national pour reconnaître leur service et leur sacrifice.

« Trudeau a traité ce projet de la même manière qu’il a traité nos anciens combattants : en leur disant qu’ils demandent plus qu’il ne peut donner, en refusant, en retardant et en espérant que le projet finisse par disparaître.

« Après que les conservateurs ont exercé une pression persistante sur le gouvernement, les libéraux ont enfin rompu leur silence sur l’état d’avancement du projet. Neuf ans après l’annonce de la construction du monument, les libéraux ont enfin rendu public le projet officiel de construction. Cependant, l’annonce d’un projet n’est pas suffisante.

« Les conservateurs du Canada exigent que le gouvernement fasse ce qu’il faut et honore nos anciens combattants de l’Afghanistan en mettant immédiatement la main à la pâte pour achever ce monument qui n’a que trop tardé. Une fois de plus, Trudeau a montré ce qu’il pensait vraiment de nos vétérans. Les conservateurs de gros bon sens sont aux côtés des hommes et des femmes qui ont servi pour défendre la liberté et la démocratie que nous chérissons ici et à l’étranger. »